la Sainte Messe en église.
" La Sainte Eucharistie ".
L'eucharistie,
C'est une transfusion Divine, le maître de tout, étant devenu lui-même Divinité, s'offre par la prière du prêtre et des fidèles.
La prière aux fruits invisibles monte et touche le coeur de la Majestueuse Divinité qui elle-même se déverse dans l'hostie créée des mains de l'homme pour devenir Hostie Consacrée.
La Messe (Missa) est un seul acte qui regroupe la Cène, la Passion et la Résurrection" la VIE du Christ".
Le Christ descendu sur terre vit la Gloire de son Père dans sa vie au quotidien, lui, étant Fils unique de Dieu il nous montre la route, cette route est de nous placer dans la conduite, dans l'exemple de ses actes, eux qui renferment les vertus de l'Esprit-Saint.
In Christo
Valérie.
- La sagesse : elle fait goûter la présence de Dieu, dans une plus grande union avec lui, et un plus grand dynamisme missionnaire. C'est le don contemplatif par excellence.
- L'intelligence : elle aide à entrer dans le mystère de Dieu, à comprendre de l'intérieur la foi, les Écritures, à distinguer l'erreur de la vérité. Par ce don, chaque chrétien peut devenir un authentique théologien.
- La science : elle permet de reconnaître Dieu à l'oeuvre dans la nature et dans l'histoire, de recevoir le monde comme un don de Dieu. Elle donne le sens de la précarité de l'univers.
- La force : elle donne la persévérance dans l'épreuve, le courage du témoignage. Elle soutient les martyrs mais aide aussi au quotidien à accomplir son devoir d'état et à vivre le combat spirituel. C'est l'héroïsme de la petitesse.
« Ma grâce te suffit, dit le Seigneur, car ma puissance donne toute sa mesure dans la faiblesse. » (2 Co 12, 9)
- Le conseil : c'est le don du discernement spirituel. Il ajuste ce qu'il convient de faire ou d'éviter, de dire ou de taire. Il dispose à voir clair en soi et dans les autres.
- La piété : elle fait entrer dans l'expérience de la paternité de Dieu, de sa proximité, de sa tendresse. Elle nous donne la confiance de l'enfant. Elle nous rend proche aussi des autres.
- La crainte : ce n'est pas la peur de Dieu mais le sens de sa grandeur. La conscience de l'infinie distance entre le Tout-Autre et nous, ses créatures. Ce don suscite une attitude d'humilité et d'émerveillement.
- Jésus nous offre les Sacrements par ses paroles, par ses gestes. Les Evangiles nous guides à travers notre conversion:
« Les sacrements de la Loi Nouvelle sont institués par le Christ et ils sont au nombre de sept, à savoir le Baptême, la Confirmation, l'Eucharistie, la Pénitence, l'Onction des malades, l'Ordre et le Mariage », peut-on lire dans le Catéchisme de l'Église catholique. « Les sept sacrements touchent toutes les étapes et tous les moments importants de la vie du chrétien : ils donnent naissance et croissance, guérison et mission à la vie de foi des chrétiens. En cela il existe une certaine ressemblance entre les étapes de la vie naturelle et les étapes de la vie spirituelle. »
L'Église a toujours maintenu fermement que les sacrements n'étaient pas des rituels inventés par les prêtres ou les évêques mais qu'ils découlaient directement de l'enseignement laissé par le Christ aux Apôtres.
*Versets de la Bible à propos des Sacrements. l'Eucharitsie et le Baptême.
Matthieu 26:26-28
Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le donna aux disciples, en disant: Prenez, mangez, ceci est mon corps. Il prit ensuite une coupe; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, en disant: Buvez-en tous; car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés.
Marc 14:22-24
Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant: Prenez, ceci est mon corps. Il prit ensuite une coupe; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, et ils en burent tous. Et il leur dit: Ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui est répandu pour plusieurs.
Luc 22:17-20
Et, ayant pris une coupe et rendu grâces, il dit: Prenez cette coupe, et distribuez-la entre vous; car, je vous le dis, je ne boirai plus désormais du fruit de la vigne, jusqu'à ce que le royaume de Dieu soit venu. Ensuite il prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant: Ceci est mon corps, qui est donné pour vous; faites ceci en mémoire de moi.lire plus.
Il prit de même la coupe, après le souper, et la leur donna, en disant: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pour vous.
Galates 3:27 Concept des Versets Baptisés dans le Christ.
vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ.
Romains 6:3 Concept des Versets Baptisés dans le Christ.
Être né de nouveau. Morts au péché. Retarder le Vieil Homme. Mortification. importance du Baptême.
Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus Christ, c'est en sa mort que nous avons été baptisés?
1 Corinthiens 10:16-17
La coupe de bénédiction que nous bénissons, n'est-elle pas la communion au sang de Christ? Le pain que nous rompons, n'est-il pas la communion au corps de Christ? Puisqu'il y a un seul pain, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps; car nous participons tous à un même pain.
Matthieu 26:26 Concept des Versets En même temps. Agneau de Pâque. Dîner du Seigneur. Remerciements avant les Repas. Corps du Christ, Symbolisé: Rompre le Pain.
Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le donna aux disciples, en disant: Prenez, mangez, ceci est mon corps.
*Le Sacrement du mariage:
Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 19, 1-12)
Jésus acheva ainsi son discours, puis il s'éloigna de la Galilée et se rendit en Judée, au-delà du Jourdain. Une foule nombreuse le suivait, et là il les guérit.
Des pharisiens s'approchèrent de lui pour le mettre à l'épreuve ; ils lui demandèrent : « Est-il permis de renvoyer sa femme pour n'importe quel motif ? » Il répondit : « N'avez-vous pas lu l'Écriture ? Au commencement, le Créateur les fit homme et femme, et il leur dit : 'Voilà pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, il s'attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu'un.' A cause de cela, ils ne sont plus deux, mais un seul. Donc, ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas ! »
Les pharisiens lui répliquent : « Pourquoi donc Moïse a-t-il prescrit la remise d'un acte de divorce avant la séparation ? » Jésus leur répond : « C'est en raison de votre endurcissement que Moïse vous a concédé de renvoyer vos femmes. Mais au commencement, il n'en était pas ainsi. Or je vous le dis : si quelqu'un renvoie sa femme - sauf en cas d'union illégitime - pour en épouser une autre, il est adultère. »
Ses disciples lui disent : « Si telle est la situation de l'homme par rapport à sa femme, il n'y a pas intérêt à se marier. » Il leur répondit : « Ce n'est pas tout le monde qui peut comprendre cette parole, mais ceux à qui Dieu l'a révélée. Il y a des gens qui ne se marient pas car, de naissance, ils en sont incapables ; il y en a qui ne peuvent pas se marier car ils ont été mutilés par les hommes ; il y en a qui ont choisi de ne pas se marier à cause du Royaume des cieux. Celui qui peut comprendre, qu'il comprenne ! »* Le sacrement des malades à la lumière de la Bible.
Epître de saint Jacques (Jacq 5, 14-15)
Dans l'épreuve, le chrétien fait appel à son Seigneur, mais il peut aussi compter sur l'intercession de ses frères. Les anciens de l'Eglise sont invités à pratiquer une prière communautaire, accompagnée du signe de l'onction d'huile.Si l'un de vous est malade, qu'il appelle ceux qui exercent dans l'Église la fonction d'Anciens : ils prieront sur lui après lui avoir fait une onction d'huile au nom du Seigneur.
Cette prière inspirée par la foi sauvera le malade : le Seigneur le relèvera et, s'il a commis des péchés, il recevra le pardon.*Le Sacrement de la confirmation:
Actes 8, 14-17
Les apôtres, qui étaient à Jérusalem, ayant appris que la Samarie avait reçu la parole de Dieu, y envoyèrent Pierre et Jean, qui, étant descendus (chez les Samaritains), prièrent pour eux afin qu'ils reçussent l'Esprit-Saint. En effet, il n'était encore venu sur aucun d'eux; ils avaient seulement été baptisés au nom du Seigneur Jésus. Alors ils leur imposaient les mains, et ils recevaient l'Esprit-Saint.
Actes 19, 5-6
Ayant entendu (ces paroles), ils furent baptisés au nom du Seigneur Jésus. Lorsque Paul leur eut imposé les mains, l'Esprit-Saint vint sur eux; et ils parlaient en langues et ils prophétisaient.
2 Corinthiens 1, 21-22
Dieu lui-même nous a rendus fermes, et vous aussi, pour le service du Christ, quand nous avons reçu l'onction, quand il nous a marqués de son sceau et a déposé en nos cœurs les premiers dons de l'Esprit.
Hébreux 6, 1-2
C'est pourquoi, laissant de côté l'enseignement élémentaire sur le Christ, élevons-nous à l'enseignement parfait, sans poser de nouveau les principes fondamentaux du renoncement aux œuvres mortes, de la foi en Dieu, de la doctrine des ablutions, de l'imposition des mains, de la résurrection des morts et du jugement éternel.
*Le Sacrement de Réconciliation et de Pénitence:
- La pénitence et la réconciliation à la lumière de la Bible - Église catholique en France
L'homme soumis à la loi est divisé entre deux forces contradictoires : il est attiré vers le bien mais constate qu'il fait le mal. C'est une situation tragique, mais le Christ permet d'échapper à ce dilemme. Il donne la juste intelligence des commandements et libère de la loi du péché qui conduit à la mort.Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains (Rm 7, 14-25)
Nous savons bien que la Loi est une réalité spirituelle : mais moi, je suis un homme charnel, vendu au péché.
En effet, je ne comprends pas ce que j'accomplis, car ce que je voudrais faire, ce n'est pas ce que je réalise ; mais ce que je déteste, c'est cela que je fais.
Or, si je fais ce que je ne voudrais pas. je suis d'accord avec la Loi : je reconnais qu'elle est bonne.
Mais en fait, ce n'est plus moi qui accomplis tout cela, c'est le péché, lui qui habite en moi.
Je sais que le bien n'habite pas en moi, je veux dire dans l'être de chair que je suis. En effet, ce qui est à ma portée, c'est d'avoir envie de faire le bien, mais non pas de l'accomplir.
Je ne réalise pas le bien que je voudrais, mais je fais le mal que je ne voudrais pas.
Si je fais ce que je ne voudrais pas, alors ce n'est plus moi qui accomplis tout cela, c'est le péché, lui qui habite en moi.
Moi qui voudrais faire le bien, je constate donc en moi cette loi : ce qui est à ma portée, c'est le mal. Moi qui voudrais faire le bien, je constate donc en moi cette loi : ce qui est à ma portée, c'est le mal.
Au plus profond de moi-même, je prends plaisir à la loi de Dieu.
Mais, dans tout mon corps, je découvre une autre loi, qui combat contre la loi que suit ma raison et me rend prisonnier de la loi du péché qui est dans mon corps.
Quel homme malheureux je suis ! Qui me délivrera de ce corps qui appartient à la mort ?
Et pourtant, il faut rendre grâce à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur.
Ainsi, moi, je suis à la fois, par ma raison, serviteur de la loi de Dieu, et, par ma nature charnelle, serviteur de la loi du péché.
*Le Sacrement de l'Ordination:
A l'origine du sacrement de l'ordre
« Ordination » désigne le rite liturgique qui intègre à l'un de ces 3 ordres : L'ordre des évêques, des prêtres ou des diacre.
Ordre, ordination, consécration
Le nom de sacrement de « l'Ordre » renvoie à l'organisation de la société antique, qui a vu naître l'Eglise. Le mot « ordo » désignait en effet pour les romains les différents corps constitués qui structuraient et gouvernaient la société. Les nouveaux venus y étaient intégrés par une « ordination ». Ainsi, l'Eglise repose sur des « ordres » reconnus depuis ses origines : l'ordre des évêques, l'ordre des prêtres, et celui des diacres, notamment.
« Ordination » désigne le rite liturgique qui intègre à l'un de ces 3 ordres. Il s'agit plus que d'une simple cérémonie de prise de fonction : c'est une véritable consécration, car l'ordination confère un don spécifique de l'Esprit Saint, par lequel la personne ordonnée est mise à part et investie par le Christ lui-même pour le service de l'Eglise.
Origines bibliques
Le peuple juif était organisé dans l'Ancien Testament en 12 tribus. L'une d'elle, celle de Levi, est spécialement en charge du service liturgique. Ses membres, les lévites, ont des règles de vies propres, en fonction de leur rôle d'intermédiaire entre Dieu et son peuple. Leur tâche consiste principalement à faire entendre la Parole de Dieu, et à célébrer les sacrifices de réconciliation. Ces lévites sont la principale préfiguration du sacerdoce nouveau institué par Jésus.
Jésus ne fait pas partie de la tribu de Lévi. Pourtant, il rempli vraiment le rôle du prêtre. Il est même le seul à pouvoir être pleinement prêtre, puisque les sacrifices des lévites n'étaient que des rites impuissants à faire le lien entre Dieu et les Hommes. Jésus, lui, est médiateur entre Dieu et les hommes par sa personne et par son œuvre : en s'offrant sur la Croix, il est à lui seul le prêtre et la victime du sacrifice définitif.
Dans le Nouveau Testament, Jésus associe ses apôtres à ce sacerdoce d'un nouveau genre, notamment le soir du Jeudi Saint, lorsqu'il institue l'Eucharistie. Désormais, ce sont les apôtres qui portent la charge de conduire l'Eglise en l'enseignant, en la gouvernant, et en la sanctifiant. C'est cette charge qui se transmet depuis à travers le sacrement de l'Ordre.
Amen.